Salle d'interrogatoire

14/08/31

9 h 35, Salle d'interrogatoire n°5, [Violée par le métro partie 5]

"Alors, qui est ce ?"

"Walter Fiordj, Inspecteur."

"Je vois... ça fais combien de temps qu'il est là ?"

"Depuis 8 h 00 ce matin."

"Je pense qu'il a bien poiroté, où sont les autres ?"

"Pas encore arrivés."

"Bon, on va commencer alors."

Je voyais cet homme qui avait l'air plutôt droit a travers la vitre teinté, il ne voyait pas que je l'observais. C'était un homme fort qui avait l'air ambitieux et présent, toujours à l'heure. Pas vraiment le profil que je recherchais, mais on ne sais jamais. S'il faut ce sont les membres de son équipe qui sont dans le coup. De toute façon, on verra bien. Je passais mon pass impérial sur le détecteur pour ouvrir la salle d'interrogatoire.

Je rentrais l'homme me salua de la tête et me fixais, pendant que je regardais le dossier. Je ne lui fis pas signe en retour je lui posais froidement les questions afin de ne pas m'impliquer personnellement.

"Vous êtes bien monsieur Fiordj, n'est-ce pas ?"

Walter était dans la salle depuis plusieurs minutes, ne comprenant pas pourquoi il avait été convoqué il attendait dans l'ordre et la discipline. C'était la première fois qu'il voyait ses salles et il espérait ne plus jamais les voir, que son lieutenant apprenne cela et le mec qui l'avait envoyé là passerai un sale quart d'heure...

Un homme entra dans la salle, un homme bourru qui semblait savoir ce qu'il voulait, il ne l'avait encore jamais vu et il ne le pensait pas militaire mais plutôt policier, depuis quand la police civile investi la caserne? Et pour quelle raison....

Quand il posa sa question, walter était prés à subir son interrogatoire sans sourcilier

"Sergent walter fiordj, monsieur..... Puis-je savoir les raisons de ma présence ici...."
Il attendait que ce gars lui explique pourquoi il était la...

Je ressentais dans son intonation un peu de haine et de courage à la fois. Ce qui est compréhensible de la part d'un militaire, se retrouver la dans un bâtiment civil comme ça sans motif. Malgré que cette interview soit officielle. Le sergent devant moi ne se démontait pas, il suivais les préceptes militaires à la lettre. Il me vient naturellement de jouer le bon flic avec lui.

"Du calme sergent, je ne suis pas votre supérieur, et encore moins votre ennemi. Je veux juste régler un affaire au plus vite."

Le sergent me regardais sans soucier.

"Bon, je vois que vous avez combattu sur plusieurs planètes et champs de batailles. Sergent vous avez été promu par vos qualités et votre sens du devoir. Que vous avez perdu de la famille dans les guerres, tout le monde faisait parti de l'armée, vous n'êtes pas marié, et vous n'avez pas d'enfant."

"Bon, je pense pas que vous soyez le criminel dans cette affaire, je vais vous dire pourquoi je vous ai convoqué ici. Bon, il y a quelques jours nous avons retrouver un cadavres d'une femme brune violée par plusieurs personnes et qui plus est s'est faite lâchée dans les tunnels du métro ou elle trouva la mort en se faisant déchiqueter par la rame. Bon vous me direz: pourquoi vous? Et bien, il se trouve que ces meurtres et viols se font à répétition, une série, une fois tout les huit mois et votre équipe militaire reviens tout les huit mois d'intervalle au moment précis ou cela arrive. Voila pourquoi vous êtes convoqué ici. Je ne dis pas que vous avez fait le coup mais il se peut que ce soit un membre de votre équipe, si vous savez quoique ce soit dite le moi."

Ainsi donc c'était une histoire de viol et de meurtre, il savait que ses hommes étaient innocents, il devait lui faire comprendre. Il les avait toujours sous les yeux, et quand ils sortent ils sont sous le contrôle de la police militaire...

"Je ne sais rien a ce sujet, mais je peux vous assurer que mes hommes sont innocents, car je l'ai ai toute la journée sous les yeux, quand ils sortent en perm' ils sont sous le contrôle de la police militaire. Et je doute qu'ils puissent faire quoique ce soit sans que vos collègues le sache."


"De plus mon unité comporte autant d'homme que de femme, et ce depuis la formation de l'unité, mes hommes sont tous originaire de grandes famille de notre planète natale, ils sont donc éduqué, physiquement et intellectuellement. De pars tout ceci je me porte garant de mes hommes."

"Et de plus voila quatres jours que nous sommes là et c'est la toute première fois que nous somme en poste sur Sierra, et comme vous me dite que cela fait plus de huits mois et que ça se reproduit depuis cela ne peut être nous...."

Pendant tout le temps de son discours il était resté debout, droit, mains dans le dos en cachant toute émotion, il n'avait rien a craindre car rien à cacher..

"Très bien sergent, Je vois que votre profil ressors et je vous crois vous avez l'air sincère de toute façon vous n'êtes pas les seuls dans ce cas la je recherche un groupe soudé, qui s'entre aide a faire des larcins. Une pomme pourrie dans l'empire, quelqu'un qui motive les rebelle à se révolté enfin des criminels qui se cache à cause de leur statut. Enfin de véritables salopard en somme."

Le Sergent écoutait avec attention.

"Bon, vous voici libre ce n'était qu'une petite formalité, je cherche un criminel. Parfois il est dur de se justifié d'un homme sans l'avoir vu, maintenant que je vous connais un peu mieux je dirais que vous êtes un home bon qui dirige bien ses hommes. Je trouverais le coupable ne vous en fait pas il se peux que je vous convoque si des preuve me mènent à vos hommes, mais je pense qu'il n'y aura plus de problème de ce genre."

"J'espère que la prochaine fois que nous nous rencontrerons se fera dans de meilleurs dispositions. Merci à vous en tout cas."

Bien tout ce déroulé comme prévu et il était libre... Avant de sortir il regarda le policier, il n'avait fait que son travail et bien qu'il ait ressentit de la colère au début, il n'avait que du respect pour un homme qui semblait ne pas être corrompu comme tout ses collègues. Peut-être pourrait t'il se revoir ailleurs et en d'autre circonstance.....

"Je me donne a fond pour mes hommes inspecteur, si ils sont bons je les félicitent sinon je les punis..Ne faite pas preuve de pitié pour des meurtriers et des traitres, qu'ils subissent un chatiment exemplaire.. Peut-être nous reverrons nous dans un bar ou à la taverne. Sur ce, bonne journée et bon courage pour votre enquête. Mais faite attention, ils ne seront pas tous comme moi et mon unité, certain sont de vrai bête et n'hesiterai pas a vous tuer suivant la question que vous poserez.En tous cas si vous avez besoin d'aide vous me trouverez au baraquement B5, avec mon escouade et mon supérieur le lieutenant Vank Aho... "

Walter sortit de la salle et visita au plus vite le QG de la police, c'était un bâtiment assez récent, il y avait une telle activité en ces lieux qu'on l'aurai confondu avec une fourmilière, ou à un nid de whorpal sur Wholias. Autant d'être qui travaillent ensemble, certain étaient corrompu d'autre étaient naïf, d'autre encore comme l'inspecteur qu'il venait de voir était droit et fier.... C'était d'hommes tel que lui que la police avait besoin, mais il semblait avoir vécu une chose horrible...

Il sortit du bâtiment, vit deux soldats entrer les salua car ils avaient un grade supérieur au sien, aucune réponse... Mouai, des hommes comme ça n'avait rien à faire dans l'armée impériale, voila pourquoi il se devait de changer la donne et l'empire de l'intérieur il y arriverait, surtout si il pouvait compter sur le lieutenant et sur des hommes tel que ce gars... Il prit la jeep avec laquelle il était arrivé puis reparti à la caserne, c'était midi et ses hommes avaient dû s'entrainer sans lui ils allaient encore courir un petit peux...

14/08/31

10 h 29, Salle d'interrogatoire n°3, [Violée par le métro partie 6]


"Les voilà enfin ces deux là."

Je venais de finir avec Walter Fiordj, maintenant c'était au tour du lieutenant et du capitaine. Et ils venaient à peine d'arriver leur convocation était à 8h quand même. Ils auraient pu se magner j'ai pas toute la journée à passer avec ces foutu militaires.

"Bon ,faites les prendre place dans les salles d'interrogatoire et faisons les patienter un peu."

Je voyais le lieutenant aller dans la salle d'interrogatoire n°3, et le capitaine aller dans la salle n°4. Je patientais, le temps de les faire réfléchir sur ce pourquoi ils sont là et faire ressortir des éléments de leurs personnalité afin qu'il craquent plus vite. Après une heure de blague avec max autour d'un bon café et en lisant les antécédent du lieutenant et du capitaine.

"Je vais y aller je pense qu'il ont bien réfléchi sur leurs conneries."

"Oui. J'espère juste qu'il voudront pas te tuer quand tu rentrera", dit Max en se marrant.

Je me dirigeais vers la salle n°3, puis en regardant dans la salle n°4 je voyais le capitaine assis à attendre. Elle allais encore attendre un petit moment, le temps que j'interroge le lieutenant.

Je continuais mon chemin, en arrivant devant la salle , je pris une brève respiration. J'entrais dans la salle le lieutenant se tenait tel un PDG de corporation dans son siège, les pieds sur la table les bras qui soutenaient la tête. Puis, il me fit un regard vers moi ne bougeant pas d'un centimètre. Puis me dit:

"C'est pas trop tôt, vous êtes toujours aussi long chez les flics ? Et je pourrez avoir le café que j'ai demander ? Et puis d'abord, pourquoi je suis ici?"

"A mon avis tu as plein de truc à te reprocher, dis moi tu connais cette fille?"

Je lui est posé la photo devant lui sur la table. Il se redressa. Regarda la photo de la tête décapitée de la femme sans soucier.

"Ouais.... peut être j'en sais rien, pourquoi il lui est arrivé quoi à celle là, pour se faire décapité ?"

" Elle s'est faite violé puis lâchée dans le métro pour se faire assassinée."

"Dommage pour elle, j'ai rien a voir la dedans."

J'avais a faire a un vétéran de guerre qui avait vu trop de choses mais il ne savais rien ça se sentais à son regard mais il vint à me dire:

"Ah! Attendez, je l'ai déjà vu elle était dans le métro une fois un gars essayer de la refourguer avec d'autres dans le métro."

"Un gars ? Comment ça?"

"J'en sais rien c'était y a 4 jours. De toute façon mon équipé était un peu trop soule pour ce soucier de ça, on est rentrer à la caserne. Mais le capitaine qui est rentrer avec moi dans ce commissariat, était avec moi et lui a parler a votre gars."

"Merci bien, Vous pouvez partir."

J'avais enfin une piste solide. Et deux témoins me restais plus qu'a soutirer les information au capitaine. Je sortais donc avec le lieutenant en lui montrant la sortie. Pour me diriger en vitesse vers la salle n°4 où se trouvait le capitaine.

Je rentrais en vitesse voir le capitaine, elle fut surprise de me voir arriver aussi vite. Je commençais mon discours:

"Bon capitaine, je sais que vous avez déjà croiser cette fille", en lui tendant la photo.

Elle regardait en écoutant, ce que je lui disais:

"Vous avec rencontrer et parler avec un homme qui vendais cette fille qu'avais vous le connaissez comment? L'avez vous tuer?"

"Ça va pas ? Tuer une civil comme ça non jamais je vois assez d'horreurs dans mon métier comme ça et puis vous vous prenez pour qui de me faire attende comme ça ? J'ai des responsabilités à la caserne et c'est pas un petit civil comme vous qui va me faire peur!"

"Bon vous aller me répondre ou je vous colle en exécution sommaire ou en asservissement mental."

"Vous n'avez aucun droit sur l'armée. Vous ne pouvez rien faire!"

"Code pénal n°17: une enquête peut être ouverte par le parti public sur l'armée si il s'agit d'une série de meurtre. Or ici ce n'est pas un meurtre c'est plus 50 personnes qui ont trouver la mort. Alors répondez-moi!"

"Bon très bien. Oui j'ai déjà vu cette fille, et il y avais un gars du nom de Mr. Karl qui vendais ses prostituées au niveau des rames de métro. J'étais avec mes hommes à ce moment-là. Plus de 30 de mes hommes et pour 5000 crédits, elle était à mes hommes, comme on revenais de mission j'ai trouver que ça leur ferait un beau cadeau d'avoir de la chaire fraiche, après tout ce carnage. C'était d'ailleurs pas la seule fille, il y en avait plusieurs, il les vendait au passant aussi. En gros tout le métro leur passais dessus, mais je rappelle, elle s'était engueulée avec parce, quand mes hommes avais fini avec, elle s'était plainte que mes hommes l'avait littéralement prise dans tout les sens sans ce soucier d'elle. Ce Karl en avait rien à foutre. Il lui a dis de se calmer pour l'instant. Elle voulait partir, mais il l'a empêché."

"Et vous faites ça souvent?"

"Oui tout les huit mois, on reviens et c'est mon cadeau pour mes hommes. Elles se plaignent toute à chaque fois. Mais je remarque que c'est jamais les même filles qu'à chaque fois. Et puis, tout mes hommes qui y retourne régulièrement, ils préfèrent l'acheter en groupe pour la nuit, ça leur reviens moins chère. Mais les connaissant, ils y vont pas de main morte."

"Je vois et où peut-on trouver ce Mr. Karl ?"

"Dans le métro, la plupart du temps et aussi dans la résidence grand confort du Quartier Nord. On le vois par chance la plupart du temps ou il sait nous retrouvé."

"Je vois, je vais faire interroger chacun de vos hommes. Aujourd'hui. Pour l'instant vous restez au poste afin de valider votre version."

Je sortais de la salle, entendant les plaintes du capitaine, mais je n'en avais que faire. Max me vis:

"Alors une piste?"

"Oui, un Mr Karl. C'est un Mac."

"Et tu compte faire quoi pour le retrouver."

"Je sortirais chaque nuit afin de retrouver ce Mr.Karl."


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